Voici le "Short Fan Film" d'une géniale vidéo pour un chapitre très intéressant et prometteur: Street Fighter Legacy. Dommage, c'est trop court, mais qu'est-ce que c'est bon ! Voilà qui pourrait valoir cher si c'était, pour de vrai, un véritable hommage cinématographique à l'œuvre géniale de Capcom...

Quelques trucs en vrac sur South Park vus ces derniers jours.

Alors que je possède ce film depuis novembre dernier, je viens seulement de regarder Burn After Reading ce soir.
L'histoire: Quand Linda et Chad, deux employés d'un club de remise en forme, mettent un jour la main sur un CD contenant des données confidentielles de l'ancien membre de la CIA Osborne Cox, leur vie va soudainement prendre un tournant plutôt inattendu. Et quand le marshal Harry Pfarrer, amant de la femme de Cox, va se retrouver au milieu de tout ça, cela ne va pas arranger les choses...
Mon avis: Avec John Malkovich, George Clooney et Brad Pitt, le film possède déjà des fondamentaux plus que solides. Encore fallait-il que le scénario des frères Coen tienne assez bien la route... J'avais quelques doutes au départ, mais ce film est en réalité un petit bijou d'ineptie ! Si l'on prend la peine de s'y mettre "sérieusement", l'histoire délivre des pures perles qu'il sera difficile d'oublier avec le temps tant l'intensité du déroulement des scènes et le brio des personnages rendent le contenu totalement loufoque et grandiose à la fois. Honnêtement, je n'avais pas autant ri dans au moins deux ou trois scènes du film que dans une scène du début du film "Supergrave", qui n'est pourtant pas une grosse référence cinématographique. En tout cas, un excellent moment que je conseille, même si la première moitié du film peut paraître fade et niaise. Les scènes avec Brad Pitt méritent à elles-seules toute votre attention...

Un court-métrage que j'avais déjà vu il y a un moment, mais qui est repassé sur NoLife tout à l'heure et que donc j'avais envie de (re ?) faire partager: il s'agit du célèbre T-Shirt War. A découvrir aussi, le Store, par ici.

Comme y'avait pas grand chose à la téloche ce soir, j'ai pu tester mon nouveau super câble HDMI pour mater le film "Hot Fuzz" d'Edgar Wright, avec notamment Simon Pegg et Nick Frost, sorti en 2007.
L'histoire: A Londres, le policier Nicholas Angel est le meilleur de son équipe. Tellement bon qu'il fait passer ses collègues pour de simples gardiens de la paix. Le chef de la brigade le mute donc dans le petit village de Sandford, où il ne se passe quasiment rien. Aux côtés du policier local Danny Butterman, un fan de films d'actions qui rêve de fusillades et de poursuites en tous genres, Nicholas règle quelques contraventions sans grand intérêt. Cependant, une série d'accidents étranges va le remettre rapidement sur les rails...
Mon avis: Excellent, il n'y a pas d'autre mot. Après "Shaun Of The Dead" sorti en 2004, Edgar Wright signe un deuxième film de haute volée, bourré d'humour et de références diverses. C'est un véritable régal, et le duo Simon Pegg / Nick Frost est toujours aussi efficace. A ne pas louper, et à revoir avec toujours autant de plaisir. Barres de rire garanties.

J'ai regardé hier soir le film Ultimate Game (Gamer en VO), de Brian Taylor (Hyper Tension) et avec Gerard Butler (300, RocknRolla).
L'histoire: Dans un futur proche, le milliardaire Ken Castle a créé le divertissement ultime: "Society", dans lequel l'être humain peut aussi bien être le protagoniste que le joueur. Il crée ensuite une version plus violente de ce jeu, "Slayers". Dans celui-ci, des joueurs en ligne contrôlent à distance des condamnés à mort qui doivent s'entretuer lors de combats diffusés dans le monde entier. Ces condamnés peuvent regagner leur liberté en survivant à 30 épreuves. L'un d'entre eux, Kable, téléguidé par Simon, un adolescent fan de réalités virtuelles, est la star du jeu. Mais il ne s'appartient pas: il a été arraché à sa famille, emprisonné, et on le force à combattre. Il doit alors survivre assez longtemps pour regagner sa liberté...
Mon avis: Si l'histoire avait de quoi faire un bon film, on navigue entre deux ou trois idées issues de "eXistenZ", "Antitrust" et "Death Race". L'image est belle, les scènes d'action bien cool et Gerard Butler parfait, mais il y a trop de clichés cinématographiques et de références geek foireuses pour entretenir le film jusqu'au bout. Quelques idées méritent tout de même le détour, et Michael C. Hall est très bon dans son rôle de vilain un peu disjoncté, mais tout ça est à la fois trop lisse dans le scénario et trop lourd à suivre dans la façon de filmer. Du coup, je suis hésitant sur la note que je donnerai à ce film... La moyenne, c'est sûr, mais... 12 sur 20 ? 13 ? Pas vraiment plus...

Une fois n'est pas coutume, j'ai pu aller découvrir hier soir le film Sherlock Holmes au cinéma, dernier scénario de Guy Ritchie en date avec notamment Robert Downey Jr, Jude Law et Mark Strong.
L'histoire: Après être finalement parvenu à arrêter le tueur aux méthodes occultes Lord Blackwood, le légendaire détective Sherlock Holmes et son assistant le Dr Watson peuvent clore un autre cas brillamment résolu. Mais quand Blackwood revient mystérieusement d'entre les morts et reprend ses sombres activités, Holmes doit repartir sur ses traces. Devant dans le même temps gérer la nouvelle fiancée de son partenaire et le chef de Scotland Yard, le détective doit démêler les indices qui le mèneront vers une série de meurtres tordus, de tromperies et de magie noire, ainsi que l'étreinte mortelle de la tentatrice Irène Adler...
Mon avis: Avant d'aller voir ce film, je me doutais de ce que je verrai sur la toile du cinéma: un film à la sauce Guy Ritchie, mais plus "grand public" que ces précédents opus "Arnaques, crimes et botanique", "Snatch", "Revolver" et "RocknRolla". Du coup, on sent que la patte du réalisateur est présente, dans les dialogues par exemple, ou bien dans le souci des détails ou dans la chorégraphie des combats. Pour le reste, on en prend plein la vue avec les effets spéciaux et l'humour est présent. La relation Robert Downey Jr - Jude Law pour le duo Holmes - Watson fonctionne à merveille, et Rachel McAdams a un rôle à sa mesure dans un Londres du XIXème siècle plus vrai que nature. Il n'empêche, je n'ai finalement pas été positivement surpris: le film est très bon, on passe un bon moment, mais je suis assez mitigé. Je l'achèterai de toute façon en DVD pour le revoir, mais la fin, tout comme plusieurs scènes longuettes, ne m'ont pas réellement satisfait. Mais allez, j'arrête de faire mon difficile, car le film reste bien sympa dans le style et le tout donnerait presque envie d'avoir une suite...

En regardant la bande annonce de Dirty Sexy Money sur Canal+, j'ai trouvé que Peter Krause ressemblait vachement à Paul Johansson (Les Frères Scott). Non, rien d'autre, c'était tout ce que je voulais dire... xD

J'en avais parlé le 30 mai dernier via le pilote, hé bien la série des Voisins du dessus devrait (normalement) débuter le 18 janvier prochain. Mais avant, vous pouvez déjà apprécier le "teaser spécial Moïse". Moi, je suis fan !

Ce soir sur Arte était diffusé le film Ghost Dog avec Forest Whitaker.
L'histoire: Dans l'Etat du New-Jersey, un tueur à gage vit selon les préceptes du Hagakure, code d'honneur des samouraïs du Japon médiéval. Il vit seul, très simplement, en nourrissant ses pigeons, et se faisant appeler Ghost Dog. Son sauveur, qu'il considère comme son maître, fait partie de la mafia italienne locale. Quand la fille du Parrain devient le témoin d'un des contrats de Ghost Dog, celui-ci semble alors bien gênant pour les mafieux qui décident de s'en débarrasser au plus vite...
Mon avis: Débutant par de longues scènes contemplatives issues des westerns et autres films de genre, Ghost Dog n'est pas forcément un film très prenant au départ. Pourtant, lorsqu'on est happé par le rythme somptueux du film, il est difficile de ne pas succomber au charme déroutant de celui-ci. Et ce n'est pas le jeu de Forest Whitaker qui nous fera dire le contraire. D'ailleurs, comme d'autres, Ghost Dog monte crescendo, permettant ainsi d'atteindre au fur et à mesure toute l'intensité dramatique qui lui est dû. La scène finale est aussi somptueuse qu'intéressante, et de nombreuses questions m'ont assailli à ce moment-là sur ma propre existence: après tout, que sommes-nous ? A quel niveau partageons-nous ce qui est essentiel avec les personnes que l'on connaît ? Et, fondamentalement, quelle trace allons-nous laisser pour ceux qui continueront de vivre après nous ? Lorsque chacun aura fait son temps, quel qu'il soit, ces idées reviendront en chacun des proches. C'est ce que ce film m'a fait apparaître. C'est ce que je retiens. Alors, oui, c'est peut-être un peu trop profond, mais c'est aussi une partie de ce que je dois vivre personnellement en ce moment. Voyez ce film, franchement il vaut le coup.