Alors que le troisième single de Justice nommé Stress devrait sortir sous peu, le clip est d'ores et déjà disponible sur le net, et fait parler de lui. Le voici.
A voir également, les deux autres clips de Justice : DVNO, et D.A.N.C.E.
La vidéo m'avait échappée, mais je me rattrape aujourd'hui en la postant : il s'agit, encore une fois, d'un reportage de Yann Barthès pour le Petit Journal de Canal+, sur l'activité professionnelle de Rachida Dati au Conseil de Paris. A voir !
Après m'être immiscé dans l'univers des dramas en regardant les deux premiers épisodes de DragonZakura, ma chère et tendre s'est dit que tant qu'à faire, elle allait se renseigner sur le sujet - étant donné qu'elle avait bien aimé. De ce fait, je me tape depuis hier l'intégralité du drama appelé Devil Beside You ; série sentimentale taïwanaise comme son nom ne l'indique pas, ce drama est issu d'un manga japonais qui parait en France chez Panini Comics sous le nom de Lovely Devil. L'histoire ne casse pas trois pattes à un canard (@ Shala) : Qi Yue est amoureuse de Yuan Yi, un camarade de classe. Elle décide de lui avouer ses sentiments en lui écrivant une lettre, mais elle la donne par erreur à Ahmon, le bad boy de l'établissement, et qui plus est fils du président de l'école. C'est le
début d'une période invivable pour Qi Yue, persécutée par Ahmon, qui décide de faire d'elle son esclave. De
plus, la mère de Qi Yue, veuve, lui annonce qu'elle veut se remarier avec le
père d'Ahmon... Les ficelles sont énormes, les clichés sont balèzes, les personnages son sur-joués, mais pour la gent féminine, ça marche du tonnerre ! Il faut dire que tous les ingrédients sont là, et que les beaux gosses se bousculent au portillon pour livrer aux demoiselles des scènes d'anthologie. Personnellement, je préfère jouer à Fifa ou à Dragon Quest pendant ce temps, mais chacun ses goûts hein... Liens : Un blog sur les dramas du genre plutôt bien fourni et les épisodes de DBY sous-titrés ; ci-dessous, l'opening.
Gros gros coup de coeur ce soir avec ce titre énormissime de Pryda, "Pjanoo", que je viens de découvrir il y a à peine deux heures. Pryda n'est autre qu'un des pseudos d'Eric Prydz, connu notamment pour le titre "Call On Me" sorti en 2004.
En achetant le tome 3 de Variante et le premier volume du titre Madara hier, je viens de franchir le seuil symbolique de 1 000 mangas possédés. Alors OK, ça prend une taille énorme dans mon appartement, mais depuis le temps que je m'y consacre, je m'étonne de ne dépasser cette barre que maintenant. Bref, je le répète, c'est purement symbolique (et je ne les ai pas comptés un par un, je tiens un tableau à jour pour savoir qu'est-ce qui me manque ou ce que je n'ai pas, c'est plus pratique), d'autant que des titres comme Dragon Ball qui sont sortis en je-ne-sais combien d'éditions sortent forcément du lot de par leur nombre et faussent ainsi le calcul (sans parler de certain tomes que j'ai en double... xD). Il est également important de souligner le fait que je possède 214 titres différents, dont je possède donc au moins le premier tome. Voici la liste des séries que je possède en plus grande quantité.
Dragon Ball - 102 tomes (!)
Détective Conan - 56 tomes
City Hunter - 34 tomes
Slam Dunk - 31 tomes
Saint Seiya - 29 tomes
Vagabond - 26 tomes
GTO - 25 tomes
Hunter X Hunter - 23 tomes
Yuyu Hakusho - 19 tomes
Tsubasa RESERVoir CHRoNiCLE - 17 tomes
Young GTO – Shônan Junai Gumi - 16 tomes
666 Satan - 15 tomes
I'll - 14 tomes
Love Hina - 14 tomes
Dr. Slump - 13 tomes
High School - 12 tomes
Ichigo 100% - 12 tomes
Tekken Chinmi - 12 tomes
Video Girl Aï - 12 tomes
Saru Lock - 11 tomes
Yeah. Et en bonus track, voilà 30 mangas pris au hasard dont je ne possède que le volume 1, et que je n'ai pas continué parce que j'ai généralement trouvé ça à chier.
Comme j'avais envie d'le faire ce matin, j'me suis amusé à me faire un p'tit classement de mes films préférés. Voici donc mon taupe vin, dans un ordre relatif de tri estimé subjectif.
Alors que j'en parlais justement aujourd'hui, je me suis une nouvelle fois maté le film "Carton Rouge (Mean Machine)" ce soir. L'histoire : Ancien capitaine de l'équipe d'Angleterre de football, Danny Meehan écope de trois ans de prison pour conduite en état d'ivresse et coups et blessures sur deux policiers. Il est très mal reçu par les autres prisonniers, car non content d'avoir gâché ce que tout le monde rêverait de vivre, il a également touché de l'argent pour perdre un match Angleterre-Allemagne. Mais alors qu'il apprête à passer de mauvaises journées, le directeur de la prison lui propose de devenir l'entraîneur de l'équipe des gardiens... Mon avis : Excellent film produit par le fameux Matthew Vaughn à qui l'on devait déjà les désormais classiques Arnaque, Crimes et Botanique et Snatch, on y retrouve également les excellents acteurs Vinnie Jones, Jason Statham et Jason Flemyng. Autant dire que le scénario est décalé à souhait, surtout au niveau des dialogues, des coups bas et des interventions très musclées du Moine ! A voir obligatoirement, ce film est un pur moment de plaisir.
Après Disturbia il y a deux jours, j'ai regardé ce soir le film Cashback. L'histoire : Ben Willis, étudiant aux Beaux-Arts, se fait plaquer par sa petite amie. Devenu insomniaque suite à cette rupture, il décide de faire fructifier ce temps en travaillant de nuit au supermarché du coin. Il y fait la connaissance de cinq personnes aux personnalités diverses qui cultivent, chacun à sa manière, l'art de tromper l'ennui pendant les longues heures de travail. L'art de Ben consiste à imaginer qu'il suspend le temps, ce qui lui permet d'apprécier la beauté du monde figé et des êtres qui le peuple, et de s'adonner ainsi à sa passion, le dessin. Et il est particulièrement sensible au charme de Sharon... Mon avis : Alors que le film commençait si bien et que les scènes drôlissimes se succédaient de façon anodine, le scénario prend une tournure particulièrement malvenue lorsque le héros s'entiche de sa collègue de supermarché : on comprend alors que l'histoire s'attache plus à sa relation avec sa première puis sa seconde petite amie qu'à autre chose, ce qui laisse un léger goût d'inachevé dans la bouche de ceux qui voyaient - comme moi - ce film d'une façon beaucoup plus délirante et moins tourné vers le sentimentalisme. Dommage donc pour ma part, même si j'ai vraiment beaucoup ri durant l'heure quarante que dure ce long métrage. Les acteurs qui interprètent Ben (Sean Biggerstaff) et Barry (Michael Dixon) s'en tirent vraiment avec les honneurs. Quant à Sean (Shaun Evans), il tient avec un barman l'une des tirades les plus cultes qu'on ait eu l'occasion de voir depuis longtemps ! xD