L'Oeil de Lynks

Si je vous dis : Orgasmic, Pop-up, Bpitch Control, Modeselektor, Boys Noize, vous pensez à quoi ? Bon, la plupart d'entre vous à rien probablement. La bonne réponse était : Siriusmo. Ce musicien allemand - de son vrai nom Moritz Friedrich - a fait quelques morceaux remarqués dernièrement ("Allthegirls" remixé notamment par Yuksek, "Wow" par le duo susnommé Modeselektor, ou l'hypnotique "Discosau") et des remixes plutôt de bonne facture (dont "Silikon" de ces mêmes Modeselektor). Un talent à suivre donc, que vous pouvez retrouver sur son MySpace.
Ci-dessous, l'original de "Allthegirls".

Ça faisait longtemps qu'une bifurcation par la catégorie Mister M n'avait plus été faite !
Profitons de ce jour pour ré-examiner une situation de la veille, alors qu'apparemment un problème (récurrent) se jouait d'un homme près de l'imprimante :

- Qu'est-ce qui se passe, ça marche pas ?
- Nan mais quelqu'un a pas appuyé deux fois sur le bouton vert.
- J'suis vert.

Voilà mdr. Comprenne qui pourra comme dirait l'autre ! :D
Et pour illustrer ce billet, le fameux sketch des Inconnus sur les publicitaires filmé durant l'un de leurs spectacles :

Alors que nombreux sont ceux qui depuis plusieurs semaines tentent de faire boycotter les futurs Jeux Olympiques de Pékin - ou tout du moins en faire boycotter la cérémonie d'ouverture, le Groupe d'Intervention Sous-Réaliste a déjà remonté le temps et nous livre une vidéo du 400 mètres de son cru : à voir par ici.

Revenons sur Terre avec le décès brutal de Thierry Gilardi ce mardi, foudroyé par une crise cardiaque. Récent journaliste de TF1 où il est arrivé en 2005, présentateur de Téléfoot le dimanche et vice-président du Stade Français, Thierry Gilardi n'avait que 49 ans. Il devait commenter le match de l'équipe de France demain soir face à l'Angleterre ; les joueurs porteront à cette occasion un brassard noir. D'aucuns retiendront sa passion, son enthousiasme et joie de vivre. Il laisse une femme et trois enfants, et de nombreux amis dans le domaine sportif et journalistique. Et ça fait toujours quelque chose...

Après avoir vu la critique hier sur le blog de Fri91, j'ai eu envie de voir le film intitulé Le Nombre 23. Et c'est chose faite ce soir.
Le film : Walter mène une vie familiale et professionnelle paisible. Mais le jour de son anniversaire, sa femme lui offre un livre intitulé "Le Nombre 23" : petit à petit, la lecture envahit la réalité de Walter qui s'immisce totalement dans le monde créé par l'auteur avec qui il se découvre des points communs étranges. Cet envahissement devient au fur et à mesure une obsession, et ce nombre 23 commence à le hanter au fil des jours qui passent. Finalement, Walter se mettra en quête de cet auteur qui le fascine tant...
Mon avis : Si ce film de type thriller psychologique est de très bonne facture, il le doit notamment à un Jim Carrey excellent et à une intrigue plutôt bien menée. Quelques passages sont un peu téléphonés ou plutôt longuets, mais tout cela n'enlève rien au plaisir du film qui reste un bon moment de divertissement. On flirte d'ailleurs avec le film d'horreur dans certaines séquences, mais plus du genre "X-Files" qu'autre chose. Et puis, qui n'a jamais vécu des situations similaires alors qu'il se sentait eu coeur d'évènements aux coïncidences aussi bizarres qu'énigmatiques ? A voir au moins une fois !

Alors que je la recherchais depuis un moment, c'est en regardant le DVD de Groland "15 ans d'Age bête" aujourd'hui que j'ai fini par remettre la main dessus : la vidéo des Voeux de Notre Président. Trop puissant ! ^^

Si Final Fantasy VIII était mon FF préféré jusqu'à peu, il a trouvé son maître en la matière avec Final Fantasy XII. Car si certains critiquaient ce douzième opus par le manque de charisme des personnages, par l'histoire quasi-inexistante et par les niveaux excessivement longs, ils n'avaient pas vu ce que moi je recherchais dans ce type de jeu et qui fait que Final Fantasy XII devient aujourd'hui un must.
Premièrement, et c'est sans doute ce qui surgit de façon logique lorsqu'on commence à rencontrer des adversaires, les butins : car autant nombreux sont ceux qui ont bien rigolé en créant des sujets sur des forums où ils disaient "way dans les RPG c'est trop pourri, d'où les monstres il te rapportent de la thune quand tu les défoncent, ils se promènent avec des sacs de pièces d'or sur eux lolol", autant maintenant ils ne peuvent plus rien dire : les ennemis laissent pour butin des objets qui leur sont propre (fruit de cactus ou mille épines pour un pampa, ou fourrure de loup pour un... loup), ce qui rend l'aventure et les objets liés à chaque rencontre beaucoup plus logiques et intéressants. Ainsi, on est curieux de ce que va nous rapporter le prochain adversaire, et on tente de récupérer des butins rares ou particulièrement chers à la revente.
Car oui, nous abordons là le second point : l'argent. En effet, si on ne gagne pas (ou rarement) d'argent en tuant un monstre, on peut malgré tout vendre nos butins à des commerçants contre espèce sonnante et trébuchante - je veux bien sûr parler de gils (merci ceux qui suivent). Tout cela donne une impression davantage réelle d'implication dans la vie de la société d'Ivalice (le monde de Final Fantasy XII), affinée par l'utilisation d'un inventaire riche.
L'inventaire, parlons-en en effet : celui-ci permet classiquement de recenser de façon claire chaque arme, accessoire ou objet remporté, mais il permet également de donner une courte explication sur chaque butin durement acquis, et ainsi développer au fur et à mesure toutes les activités des Hommes de par le monde, et d'enrichir l'aventure tout au long des heures durant lesquelles le joueur va évoluer, ce qui est loin d'être anodin.
Très utile également, le bestiaire : très riche et particulièrement soigné, il donne des informations sur chaque monstre ou ennemi vaincu avec une image, des informations sur les mondes traversés et diverses informations étranges données en pointillé sur des évènements passés, des objets rares ou des secrets bien cachés. Une source d'information intarissable dont il faudra battre à chaque fois le nombre de spécimens mentionnés pour avoir toutes les feuilles relatives à chaque espèce s'il vous plaît !
Avec tout ça, des mondes magnifiques, des couleurs de toute beauté, du level-up progressif et haletant, un nouveau système de combat avec des gambits soignés, des monstres intelligents avec des tactiques et des façons de penser bien particulières, et donc des dizaines et des dizaines d'heures de jeu à savourer : pas de doute, tout y est, ou presque. Allez, j'y retourne ! ^^

Pour ceux qui n'ont pas grand chose à faire et/ou qui veulent rigoler un peu, je donne le lien du second blog de Drawer nommé sobrement "Drawer TV" et qui a la particularité de regrouper toutes les vidéos de ce fin dessinateur à l'humour créatif et phallique. De bon augure, voici le teaser à proprement parler qui vous donnera envie (ou pas) d'aller y passer quelques instants.

Diffusé depuis deux semaines sur M6 en troisième partie de soirée, je n'avais pas encore eu le loisir de regarder la fameuse série Californication avec notamment l'excellent David Duchovny. C'est fait aujourd'hui, et j'ai ainsi pu voir les trois premiers épisodes d'une série prometteuse et fort sympathique.
L'histoire : Hank est un écrivain assez célèbre depuis que son livre s'est vu adapté au cinéma. Mais dans sa vie de débauche mêlant drogue, alcool et sexe, il a du mal à se poser relationnellement, et son ex avec laquelle il est longtemps resté le quitte pour un autre. Sa fille, adolescente, vie également une période difficile, et depuis quelques temps maintenant, il n'arrive plus à écrire. C'est dans cette situation que va se dérouler une histoire entre le comique et le tragique, la vie d'un homme comme il en existe d'autres.
Mon avis : Porté essentiellement sur l'humour, le sexe, les drogues et la désinvolture, cette série est un plaisir à regarder : les situations abracadabrantes ne manquent pas, et le caractère du héros sont autant de portes permettant d'aborder un maximum de thèmes jusque là peu utilisés. Malgré tout, on sent que la série "Sex In The City" est passée par là, et même si on aborde ici le côté masculin, cela reste du même acabit, en moins énervant et en plus décalé peut-être. Sans être totalement trash, David Duchovny joue le rôle à la perfection et ouvre plusieurs possibilités à la série dont il faudra voir les résultats un peu plus tard... Laissez-vous tentez, ça vaut au moins le coup d'oeil et le fait de passer d'agréables moments de détente ! ^^

Novak Djokovic est décidément l'homme de ce début d'année : après l'Open d'Australie, le Serbe a remporté cette nuit le MS d'Indian Wells comme prévu alors qu'il était confronté au modeste Mardy Fish qui lui aura tout de même pris un set (6-2, 5-7, 6-3).