Sumomo-mo, Momomo

Quant j'ai lu ce qui se disait sur le manga Sumomo-mo, Momomo, je me suis dit que j'allais franchement passer un excellent moment à bien rigoler. J'ai donc acheté les deux premiers tomes d'un coup - fait assez rare pour être souligné - et me suis jeté le lendemain dans la lecture. En premier lieu, il est exact de dire plusieurs choses : c'est vrai, le pitch donne envie, et est suffisament sympa pour attirer les bonnes idées. D'ailleurs, quel est-il ?
Sumomo, une jeune fille descendante d'une grande lignée de combattant, se trouve ne pas être assez puissante pour succéder à sa lignée - parce que c'est une fille (?). Elle doit donc épouser l'homme le plus fort du monde et concevoir au plus vite un enfant, qui deviendra donc l'être idéal pour perpétuer la famille Kuzuryû. Et il se trouve que le fils de l'homme le plus fort du monde est de la lignée des Inuzuka, mais également un lycéen nommé Kôshi n'aspirant qu'à devenir avocat, détestant les membres de ces clans et n'ayant aucune envie de faire quoi que ce soit avec cette Sumomo...
Les points positifs tout d'abord : Sumomo est super ultra mignonne, sa bouille et ses mimiques sont géniales, et sa façon de se pavanner pour demander à son cher et tendre de lui faire un enfant à mourir de rire ! Néanmoins, et mis à part l'apparition loufoque de personnages aussi charismatiques qu'idiots, on n'est pas réellement surpris pas le contenu de l'histoire, somme toute assez classique, avec ses confrontations, ses situations déjà vues, et un manque cruel de nouveauté scénaristique. Dommage, car il y a d'excellentes idées, et cela ne m'empêchera pas de lire la suite, car cette série vaut tout de même le coup d'oeil. Peut-être que l'anime est-il d'ailleurs plus dynamique et rend ainsi la trame plus sympa, c'est à vérifier.