Je ne sais pas pour vous qui peut-être lisez ces lignes, mais j'ai personnellement toujours du mal à payer lorsque le montant dépasse les 100 €, voire beaucoup plus. Ça me fait mal au coeur, et même si c'est parfois pour quelque chose qui me plaît, je ne peux m'empêcher d'avoir un sentiment négatif. C'est une sensation étrange, qui disparaît au fur et à mesure, mais c'est aussi ça qui me retient parfois d'acheter n'importe quoi, ou même d'acheter tout court. Alors peut-être est-ce dû à la période de ma vie où l'argent manquait, mais je ne suis pas là pour faire une psychanalyse... Changeons ça, profitons, dépensons ! (Euh, pas trop quand même...)

Ingrédients : farine de blé, sucre, huile végétale, pâte de cacao, lait entier en poudre, extrait de malt, sauce au soja, émulsifiant, poudre à lever, colorant, enzyme, sel, arôme vanille ; fabriqué à Singapour.
Produit pour le groupe Laco Overseas, Genève/Suisse.
57,5 grammes.
Biscuits with Choco Cream.
Mon avis : rien d'exceptionnel, mais ces biscuits Hello Panda se mangent plutôt rapidement en fin de compte... On l'achète pour la bouille du panda ! ^^

Je me suis acheté le magazine Trax de ce mois de janvier. Quelle ne fut pas ma surprise en m'apercevant tout d'abord que la pochette du CD à l'intérieur était collé de façon surabondante dans le magazine (deux zones de colle, tout un art pour le retirer sans déchirer la page sur laquelle elle se trouvait), puis que la pochette en question était carrément prise dans le magazine comme si c'était une page-même ! Pas facile à retirer du coup sans exploser le magazine et l'ouvrir en deux sur la largeur... Tout cela n'aurait aucune incidence si le CD en lui-même n'avait pas subit le même sort, et fut donc amputé lors de l'impression du mag' de plusieurs millimètres... Heureusement, cela n'empêche pas la lecture du-dit CD. Enfin, il m'aura fallu le limer un peu pour qu'il passe dans mon lecteur. Quel travail... (cliquez pour agrandir l'image)

Suite à cet article, voici un petit calcul amusant sur la PALG, communément appelée prime de fin d'année, soi-disant prime au mérite : en tant que simple employé, la prime est calculée sur 60% du salaire. Avec un excellent travail tout au long de l'année, vous pouvez espérer une note de 45/60, soit 45%. Un responsable étant noté sur 80% de son salaire, même en ne faisant pas grand chose, une note de 45/80 est le minimum, soit en pourcentage le même taux de 45%. Mais la nuance est là : comme l'employé touche un salaire mensuel bien inférieur à celui d'un responsable, le responsable gagnera plus en travaillant moins. Dur mais juste, non ?

Moi, ces soirées-là ("on drague, on branche, toi-même tu sais pourquoi..."), c'est pas ma tasse de thé. En plus, du thé, j'en bois pas, c'est vous dire. Mais quand il y a des enfants, ça devient tout de suite plus amusant. Au final, la soirée d'hier a donc été des plus sympathiques, même si j'ai trouvé ça un peu long sur les deux heures du matin. Normal quand on a bossé la journée. Promis, si on me le propose la prochaine fois, c'est moi qui me colle à la sélection musicale. Faut que j'investisse dans un PC portable d'ailleurs.
Enfin, sans plus attendre, voici les quelques photos que j'ai prises, premier test grandeur nature pour mon nouveau numérique. Pas mal de déchet je l'avoue, j'ai encore beaucoup à apprendre...

Avec mon tout premier appareil photo numérique, je pourrais maintenant vous montrer mes chefs-d'oeuvres photographiques (hem). J'en profite donc pour vous exposer les trois peluches qui m'ont été offertes (merci mon frère) représentant Hanamichi Sakuragi dit "Le Génie" et Takenori Akagi dit "Le Gorille" de Slam Dunk (photos 1 et 2), et Ryuk de Death Note (photo 3). Ce sont mes toutes premières prises, merci donc d'être indulgents. Note : A l'arrière-plan, un t-shirt GTO ! (cliquez pour agrandir)

Aujourd'hui, j'avais besoin d'aller acheter des fringues et quelques babioles. Quelle ne fut pas ma surprise de voir autant de monde dans le centre commercial où je me suis rendu ! Pour tout dire, je n'avais jamais vu tant de gens agglutinés à cet endroit, ni autant de véhicules garés sur l'immense parking. Même les places que personne ne prend d'habitude tant elles sont loin de l'entrée étaient occupées. A l'intérieur, le chaos et mon cauchemar : des gens partout, marchant, parlant, gesticulant, fouillant, faisant la queue dans les différents magasins à la recherche du dernier cadeau ou de je-ne-sais-quoi. Au bout d'une demie-heure, j'en avais tellement marre que je suis parti sans demander mon reste. J'aurai quand même acheté mes fringues, mais ma patience et ma faculté à me baigner dans cet univers a des limites.

... c'est chiant. J'irai même jusqu'à dire que ça me casse les cou*****, mais je serai vulgaire. Pourtant, c'est la première réflexion qui me vient à chaque fois que je m'y mets. Je sais pas si l'emballage de cadeaux est une science exacte ou un sport national, mais je serai loin de participer à une compétition de ce genre s'il en existait une. De toute façon, même quand on sait les faire, ça ne marche pas tout le temps, et les pliages ne veulent jamais rester tel qu'on vient de les faire. Pour peu que l'objet bouge alors qu'on fait les premiers plis, et la crise de nerfs va vite prendre le dessus. OK, je suis un nerveux et un caractériiel, et après ? A la fin, on est plus ou moins content du résultat, mais on a jamais envie de recommencer. Après tout, c'est emballé, et c'est l'essentiel.
C'est pas le jeune homme sur la vidéo suivante qui va me dire le contraire : faire des emballages n'a pas l'air d'être son fort. Sans parler qu'ils ont même besoin de s'y mettre à deux pour un si petit objet. C'est triste...

Mais où sont les pochettes cadeaux ?

Rien de bien folichon pour la suite et fin de la formation qui a eu lieu aujourd'hui. Comme je m'en doutais, on a eu droit à un p'tit questionnaire à la fin pour lequel on ne sait jamais quoi répondre, et je n'ai donc pas grand chose à dire pour cette seconde partie de Story Arc. Pour m'excuser, voilà une série de questions auxquelles à répondu un candidat pour un poste dans la chaîne de restauration rapide MacDonald's :

1. Nom - Prénom : Jancqueur, Hervé.
2. Âge : 28 ans.
3. Position demandée : Horizontale le plus souvent possible. Plus sérieusement, n'importe quoi. Si j'avais la possibilité d'être exigeant, je ne serais pas ici.
4. Prétentions salariales : 800KF par an plus 3% des actions de la compagnie payable d'avance. Si ce n'est pas possible, faîtes-moi une proposition, nous négocierons.
5. Éducation : Oui.
6. Dernier emploi occupé : Cible de prédilection pour un cadre moyen sadique.
7. Montant du dernier salaire : Beaucoup moins que ma valeur réelle.
8. Réalisations notoires (dans le cadre de cet emploi) : Une incroyable collection de stylos volés, exhibée en ce moment même dans mon appartement.
9. Raisons du départ : Voir question 6.
10. Horaires de disponibilité : N'importe quand.
11. Horaires souhaités : De 13h à 15h les lundis, mardis et jeudis.
12. Avez-vous des dispositions particulières ? : Oui, on me l'a fait comprendre. Mais elles s'expriment beaucoup mieux dans un environnement plus intime qu'un fast-food.
13. Pouvons-nous contacter votre employeur actuel ? : Si j'en avais un je ne serais pas ici.
14. Votre condition physique vous empêche-t-elle de soulever plus de 20 kg ? : Ça dépend, 20 Kg de quoi ?
15. Avez-vous une voiture ? : Oui. Mais la question est mal formulée. Il faudrait plutôt demander : 'Avez-vous une voiture en état de rouler ?'. La réponse serait sans doute différente.
16. Avez-vous déjà remporté un concours ou une distinction ? : Pas de distinction mais j'ai déjà obtenu deux fois les 3 bons numéros au loto.
17. Est-ce que vous fumez ? : Seulement lorsqu'on m'embrase.
18. Que souhaitez-vous faire dans 5 ans ? : Vivre aux Bahamas avec un top-model richissime et qui m'adore. A dire vrai, j'aimerais faire cela dès maintenant si vous avez une solution.
19. Certifiez-vous que tous les éléments ci-dessus sont exacts ? : Non, mais je vous défie de prouver le contraire.
20. Motivations principales de candidatures ? : J'ai deux versions un peu contradictoires : 1°) L'amour des causes justes, l'humanisme et un désir profond d'aider mon prochain à se restaurer ; 2°) Un fort endettement.

Aujourd'hui, c'était formation. Et comme demain on remet ça, c'est un bon moyen pour tester une nouveauté sur ce blog : le Story Arc. Première partie donc aujourd'hui, avec mon point de vue dont vous vous foutez royalement je vous l'accorde. Eh bien, pas réellement surpris je dois dire ; comme je le disais au début, je n'en attendais pas grand chose (comme si j'avais déjà oublié les bases de mon métier alors que ça fait à peine trois ans que j'ai eu mon diplôme), et pas grand chose n'en est resorti. Il faut tout de même admettre que le formateur était plutôt bon, ouvert et souple, et que l'après-midi est devenu davantage prétexte à des fous rires qu'à se souvenir de quelque chose. Sans parler des pseudos débats ou des accords à telle ou telle pratique qui n'ont eu aucun véritable intérêt final. En bref, j'ai surtout remarqué que la plupart du personnel n'applique pas véritablement les règles, et que tout cela n'est que théorie... A méditer. A noter la phrase fétiche du formateur "C'est bon ?" ressortie à toutes les sauces ("Ca va jusque là ?", "Vous comprenez ?"), et la fameuse réplique du jour :

- Bon, passons à la suite.
- Enfin !
- Ah, attendez : juste une dernière précision...
- Et meeerde...